O.U.I.
au Pays du Québec

Premièrement, lors de la séparation du Québec, l'Agence Spatiale Canadienne située à St-Hubert sera renommée Agence Spatiale Québecoise, mais conservera les emplois en place. Pour ce qui est de gérer les satellites et les instruments spatiaux, il y aura une démarche pour la création de l'Accord Canada-Québec de Mutualité des Ressources Spatiales (ACQMRS) et pour la signature des deux pays. Ce traité consiste à ne pas devoir diviser les instruments entre les deux pays et créer une alliance en recherche spatiale entre l'Agence Spatiale Canadienne et l'Agence Spatiale Québecoise.
Un enjeu très présent de nos jours est l'environnement. L'espace est, en effet, pollué et, en 2011, la Nasa comptait 22 000 débris visibles voyageant parfois à 22 000 kilomètres-heure. Un but premier serait de faire de la recherche dans ce domaine avec l'aide des autres pays. Un premier angle de recherche pourrait être de récolter les débris et les forcer à entrer en contact avec l'atmosphère dans le but de les détruire. Ceci n'est pas une solution à long terme à cause des trop gros débris qui pourraient ne pas complètement se désintégrer au contact de l'atmosphère.
Notre rôle se décrirait en trois simples mots: Rechercher, Explorer et Nettoyer. C'est d'ailleurs sur ces trois objectifs que va travailler l'Agence Spatiale Québecoise. En participant à la recherche avec les autres pays, en participant aux projets d'exploration de l'espace et en travaillant au nettoyage de celle-ci.
Nous travaillerons majoritairement avec l'ONU mais aussi avec la NASA, l'Agence Spatiale Canadienne, l'Agence Spatiale Européenne , l'Agence Spatiale Fédérale Russe et les autres agences spatiales des autres pays.
Les projets principaux sont le nettoyage de l'espace et participer à la recherche et expérimentation de la colonie sur Mars prévue en 2024.
